Ecrire et penser
La porte
Sombre les mauvais soirs
Elle claque, elle m’agace
Humide les jours tristes
Elle grince, je grimace
Elle s’ouvre, se referme
Bonjour, adieu, va-t’en,
reviens
Elle s’entrebâille
Je vois tes failles.
Blindée, jamais
En verre, je te regarde de
travers
Du paradis au pénitencier
Elle ne te quitte jamais
Qu’elle soit avec ou sans
marquises
Peu m’importe, elle m’est
acquise
Ce soir, prenons-la
Quittons, toi et moi, ce
monde de bois
👍😁la porte n'a pas la cote. Super poésie.
RépondreSupprimer